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Les compétences clés d’un(e) adjoint(e) juridique

Avez-vous les aptitudes pour devenir un bon adjoint juridique ? Voici quelques pistes pour le savoir.

L’adjoint juridique assiste le professionnel du droit (avocat, juge, notaire). Il se charge des tâches administratives, comme la rédaction et la mise en forme de documents officiels. Il joue également un rôle crucial de coordination et de communication, afin d’assurer le suivi des dossiers et le respect des délais. Cette fonction de bras droit nécessite d’avoir les compétences suivantes…

Organisation, réactivité et gestion du stress
Un adjoint juridique gère efficacement son temps et compose avec les urgences. « Dans la journée, on éteint toutes sortes de petits feux, déclare Jenny Bolduc, adjointe juridique chez Therrien Couture. Chaque jour apporte sa surprise ! Il n’y a rien de routinier dans le fait de travailler avec un avocat. »

Rigueur et précision
Comme le souligne Vanessa Des Serres, adjointe juridique chez Langlois avocats, « le droit est une affaire de précision. C’est important d’avoir le souci du détail, même si les demandes sont nombreuses et les délais serrés. Il faut garder le fil pour ne rien oublier ».

Connaissances juridiques
Évoluer dans le milieu du droit est ce qui le distingue des autres adjoints. En connaître les bases et se tenir à jour est un atout pour ce poste. « Si l’on comprend le langage juridique, le fond des choses et pourquoi on les fait, notre travail sera plus efficace », précise Mme Des Serres. « Plus une adjointe a d’expérience, plus elle peut être mise à contribution dans les recherches juridiques qui servent aux dossiers », poursuit Mme Bolduc.

Polyvalence et curiosité
Les tâches de l’adjoint juridique sont variées. « La polyvalence vient avec l’expérience, soutient Mme Bolduc. Il est nécessaire d’être curieuse et débrouillarde pour poser les bonnes questions et bien exécuter ses tâches. »

Discrétion
L’adjoint juridique fait attention aux informations qu’il divulgue. « La discrétion est de mise pour garder la confiance de notre patron, dont nous connaissons la vie professionnelle et personnelle, explique Mme Des Serres. Il est aussi capital d’assurer la confidentialité des renseignements que l’on reçoit de la part des clients. »

Communication soignée
Maîtriser la langue écrite et parlée est un indispensable. « Lorsqu’on échange avec un client par téléphone, ou qu’on lui envoie un document, c’est l’image du cabinet et de l’avocat pour lequel on travaille qui est en jeu, prévient Mme Des Serres. Ceci est valable en français, comme en anglais… »

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